L’AMA a établi cette exigence par suite d’une consultation auprès d’un ensemble d’experts. Ce délai permet de s’assurer que les athlètes se trouvent dans un « état stable » sur le plan physiologique au moment du prélèvement de l’échantillon. Nous allons tâcher autant que possible d’éviter cette période d’attente de deux heures en utilisant les informations sur la localisation de l’athlète.